La veille du grand départ
Il fut long à venir et pourtant bien trop rapide. Ce futur départ arrive comme un boulet de canon dans notre formidable organisation. On repense maintenant à tous les encouragements entendus jusqu’alors « Tu fais du vélo » « non » « HEIN ? Mais t’es trop con ! » ou même la famille qui nous connait trop bien dont certains membres voulaient prendre les paris sur la distance que parcourra Alex avant de rentrer !
Inutile de céder à la panique… nous n’avons pas à faire 150km par jour pour arriver à temps en Russie et notre sac ne repose pas sur 2 bambous à l’arrière de notre vélo.
Ah si. Merde.
Oh et puis allez. On va pas commencer à stresser.