Београд
Arrivés à minuit en gare de Belgrade après un voyage de 4 heures (pour 150km) accompagnés par un vieux serbe alcoolique et une bonne cargaison de contrôleurs et douaniers patibulaires mais presque, nous partons errer dans les rues de Belgrade écrites en cyrillique à la recherche d’une chaumière avec deux pieux dispo. La trouvaille venue, on part découvrir les joies de la pinte à 1€ et des fast-foods ouverts à 2 heures du mat’.
Le lendemain la ville se présente sous un nouveau jour avec une collection d’avions de chasse dont le métier la veille au soir nous semblait plutôt incertain. MÉPRISE, la ville est juste bourrée de potentiel, -turellement très intéressante. La gente masculine, elle, se paie un gabarit de golgoth mais ne vous attend pas dans les rues sombres, pavées de mauvaises intentions, malgré les clichés. Les serbes sont très sympas, toujours à s’inquiéter de nos besoins avant d’avoir montré le moindre signe de détresse.